Mercredi 19 mars : Noëlle et Luc sont venus piqueniquer à bord, puis, avec Luc, nous sommes partis sur les flots grondants et tumultueux de l'Odet, le regard fixé sur l'horizon et aussi sur les manoirs des bords de la rivière.
On a refait le plein de fuel en guettant la jauge, cette fameuse jauge qui était à zéro quand je suis revenu du Crouesty : eh bien je n'étais pas en panne de fuel, c'est la jauge qui est en panne ! Il restait une centaine de litres dans le réservoir...
Dernière minute
Jeudi 20 mars 2014 : ce matin je passe au bateau pour dégréer la grand voile, la voilerie de Bénodet va lui rajouter un 3ème ris ; j'en profite pour regarder à nouveau la jauge de fuel. Je fais des essais, je tapote la vitre, je connecte l'éclairage, ou la pompe de cale, ou les feux de mât, on ne sait jamais, mais non, ça ne veut pas marcher.
Je démonte les connexions de la jauge, je resserre les cosses, je mets du dégrippant, rien n'y fait.
J'abandonne.
Tiens, j'allume le cadran qui affiche le niveau de charge des batteries, pour voir où elles en sont... Et la jauge de fuel se met à fonctionner !
J'ai trouvé la solution, absolument par hasard...